et la Femme par un désastre gravitationnel,
le tout basculerait dans de grandes obliques et grandes gesticulations
En grande panique du dieu Pan
Banales, la Femme et la Tristesse glisseraient ensemble dans des éclats pulsés de lumière très éblouissante en flashs puissants comme des saccades spermatiques
Je ne sais laquelle chuterait la première sous un ciel totalement bleu sans croche de nuages
Un ciel de peintures, un camaïeu
Ou c’est moi qui glisse - je file - ou je tombe -
dans mes culpabilités humaines
Fildefériste gesticulant dans de grands éclats de quartz ne sachant ni où commencer ni où finir ma vie
Recommençant le chemin pourtant épuisé du désespoir et de l’incertain
Ce chemin là même qui forme une boucle et revient sur lui-même
En friche mélancolique en silence en bruits de broussailles
En piétinements, en revirements, élongations, crispations, longues chutes de falaises
Monticules en butoir
Plus haut que le sommet on ne monte plus
D’autres disent que ces escalades ne riment à rien
rimes pauvres
La douce camarde est au bout
sexy
habillée de noire
trouvant mon déhanchement appétissant
elle déhale mon corps
loin des eaux dangereuses
les tourbillons des flaques mornes
et des ennuis elliptiques
donc,
on attendra donc,