Peine à peine où le désir fut roi
Reine et reine et vos cheveux s’emmêlent
ƒélée de miel en douceur on effleure
Crainte et maintes mises
On oublie les fleurs
Mes salement mains tristes
Tremblaient en continu
On crut voir de vos dunes bêtement mourir en demain
Façades effacées parfaites de morts enrhumés
Calmement parfumaient les allées dernières où les morts défilaient
Enfin pestent ces derniers soucis
Comment vivre sans vainement vous gêner
on préfère m’éclipser reculant reculons
pour disparaître dans des flanelles grises
Loin Parti enfin crûment seul
Et je reste coi Sans ce jardin commun
D’effilades en jambes de soie belles
D’émois de vous en moi idéalement
Peine en peine où le désir fut roi
Reine et reine et vos cheveux s’emmêlent
mêlée de miel en douceur on effleure
Crainte et maintes mises
On oublie nos peurs