Au bout d’un moment, à force de se chercher soi-même, on tend vers l’isolement et l’égarement…
Et l’ « autre » est perçu comme secondaire ou accessoire ; voire un étranger, un maladroit, un incapable, un gêneur, ou encore un "mal nécessaire"…
A force de développement personnel, on en oublie l’autre,
A la fin ne restera de soi qu’un petit noyau malsain, très dur et incassable ; certes on se connaîtra mieux (quoique…), mais on aura oublier (mis partiellement de côté) tous les autres,
Se "connaître mieux" : sincèrement : à quoi bon ?
Tournons nous définitivement vers les autres ou plutôt vers l’autre qui est pluriel et multitude d’étoiles, de blasons,
Je suis contre les livres de développement personnel : n’en achetez pas !
Tournez vous vers les autres et vous vous connaîtrez mieux
Et vous vivrez mieux
Certes, non, l’enfer n’est pas les autres ; l’enfer c’est soi-même,
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NicoleA 22/04/2012 12:13
peter 17/04/2012 12:10
jean-luc saint-marc 16/04/2012 17:46
marco 07/04/2012 16:27
if6 07/04/2012 13:15
claude 06/04/2012 21:49