Et dont s’affole la pluie
Les eaux mêlées de tes cheveux
S’hérissent
En de calmes pointillés
Tes yeux :
Dessin d’enfants
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Nuages en laine
Filant mouton
Expire ma haine
En fuites claires
Epouvantablement
On se dresse l’un à l’autre
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Le ciel pâle horriblement bleu
L’oblique vental vrille les arbres
Rouge
Un trait zèbre
En travers furieusement nuageant l’air
En parfaites palmes
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Pétaradant les sexes
Les mains se joignant
Restant l’ombre l’odeur
Et les teintes obscures
Tu y tends le bras pour un ultime effort
La lumière varie.
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la musique ne suffisait plus
les han corporels des novembres
cognaient
sourdement
batterie folle oubliée après concert
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