Moitié ombre
Et l’autre très éclatant ou brille
Blanc argent, puis au brun foncé
Mes yeux fascinés par ces points étincelants
clignotants
Allongée sur la pierre chaude, les cheveux mouillés
Puis devenant très secs très chauds
La raie de son dos
Son visage parfois frémit
Elle lève la tête
son buste lent (respiration)
Les yeux se posent puis se recouchent
Près de la nuque
Une sandale blanche
une fourmi noire
prennent la
pose
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Pourquoi lentement
Se déplissent les visages heureux
Le soleil sonne son éclat
Macadam sec
Où tes jambes de nylon
Massent mon sexe
J’aime ces corps
Affrontant libres le temps à venir
liberté
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Accuser le coup
Et tout se fait silence en toi
Sauf que ça bat ça cogne plus vite plus lourd
Tu détournes le visage vers la fenêtre
Elle se veut caresses
Mais toi tu rêves tu es déjà
Parti ailleurs, sombre tristesse
la chair est triste, hélas
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A travers
J’y marche
J’en lance des regards
Autour
Je me suis fait beau
coquelet apprêté
Je rêve à découvrir
Des femmes lumineuses
ou
Lucioles incroyables
Lumière engainée
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